Conspi a écrit:Petro91 a écrit:. La concentration exagérée des tares récessives, modifie bizarrement les individus parfois et les font s'incliner vers des formes quelques fois compliquées sur plusieurs générations.
Oui en effet intéressant comme constat. J'imagine au niveau des couleurs, de la taille, de la morphologie....? Quelques photos pour illustrer tes observations
Ne pourrait-on pas essayer de s'échanger quelques petits de la même variété entre nous afin de baisser le taux de consanguinité ?
Personnellement, j'y vois plusieurs difficultés.
> Les Tropheus sont compliquer à mélanger car selon leurs origines, parfois au mieux, ils s'ignorent, souvent ils se combattent.
> Lorsqu'un groupe est en place, il est quasiment impossible d'ajouter des individus venu d'ailleurs.
Le mélange n'est dons pas gagné même dans des origines très maintenues. Il faudra le faire avec de très jeunes individus et donc sans sexe ratio.
Quand je voulais parler de tares récessives, je voulais surtout parler des petits défauts. Nous avons tous de petits défauts, les poissons aussi. Mais nous, nous nous mélangeons.
Lorsqu'un groupe vieilli, les petits défauts se concentrent.
Je me souviens d'une femelle Annectens qui était de loin celle qui pondait le plus et qui faisait le plus de bébés. Elle avait le syndrome de la queue courte, un grand classique et elle avait échappé à tout ... et grossi. Elle était impossible à pécher dans le 7m.
Sauf que ce défaut, multiplié par la grosse quantité de bébés était devenu encombrant et très visible dans le groupe.
J'avais aussi observé (et je ne suis pas le seul) que les mâchoires se modifiaient avec le temps. De génération en génération, le nez remonte et s'adapte à la bouffe en paillettes, opposée au broutage. J'avais mis des photos de sauvages, F1, F2, F3, ici et on en avait discuté avec Jérôme, voilà quelques années. Cela n'a et n'aurait aucune importance sur un groupe mais après quelques années, 15 ans par exemple, les résultats risquent de s'observer.
Alors grave ou pas .... ???