Je voudrais aussi revenir sur certains thèmes évoqués dans les interventions :
- au plan technique, qq sujet mériteraient sans doute un examen particulier; qq exemples : l'utilisation de UV (dont je n'ai pas un bon souvenir sur des Malawi...), celle de l'oxydator, la présence d'un jeune dans des bacs de géniteurs, le processus d'acclimatation; Lorsque nous retournerons chez lui, nous reprendrons ces aspects, mais
il serait bien que le Gtroph puisse s'organiser pour étudier (à son rythme) certains de ces points.
- Gwenael a parlé des Ujiji : effectivement, j'ai proposé à Patrick de lui en ramenés car il n'en trouvait pas chez nous (depuis pas mal de temps)...ce qui pose la question de la
diversité des espèces maintenues chez nous : comment s'organiser, comment maintenir des F0, comment diffuser les repro ? ce sont des questions pas faciles, qui, de mon point de vue, n'avanceront pas sérieusement sans une petite réflexion préalable, sans une certaine coordination...et sans le principal : un véritable esprit associatif qui va servir de ciment, de guide, pour avancer dans des choses aussi délicates à bâtir concrètement. Je suis beaucoup moins pessimiste que certains, car c'est une formidable concrétisation de la notion "d'association" : partager, se faire confiance, remettre les E à leur place, instaurer des relations dans le temps, agir avec des valeurs.... des mots ?
Je pense que si le gtroph le veut très fort, il a l'expérience, les adhérents, la dimension, l'amitié pour aller dans ce sens, calmement, mais volontairement.
L"exemple Ujiji illustre cet aspect amical de notre association : achat pour le compte de...rapatriement des poissons, stockage, retransfert...et au bout, Patrick très heureux...Vous êtes qq uns à faire de même :sans doute faut il creuser par là...
Mais il montre aussi l'
importance des sources : le monde est petit, et même très petit sur un créneau confidentiel comme celui des bouteurs; plus nous en saurons, mieux nous nous porterons : être curieux, s'informer, partager (je me répète!)
Enfin, au bout du bout, puisque l'on se demande pourquoi ne pas le faire soi même, on se pose inévitablement la question de savoir pourquoi on va si loin, d'autant que gtroph dispose de qq partenaires : une réflexion très ancienne (depuis les débuts du gtroph), pas facile, et que nous avons abordé plusieurs fois, sans véritablement conclure (de mon point de vue) : y a t il une évolution possible de ce coté là ? n'est il pas trop tard pour se poser la question dans un cadre purement national ? je ne sais pas, mais ce qui me semble certain c'est qu'une asso comme le gtroph doit avoir sa réponse, qq st le partenaire
car avoir les idées claires sur cette notion de partenariat apporte un véritable plus.
Toujours trop long comme d'hab..mais il y avait un peu de matiere...
Merci
Gérard