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La passion pour les brouteurs du lac Tanganyika

Fils de....

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Re: Fils de....

Message par phildulac » 12 Aoû 2019, 10:56

Je ne suis pas un fils de. Pas d’aquarium dans ma famille avant les miens. Depuis tout petit j’ai toujours été fasciné par l’eau et ce qu’il peut se passer en dessous de sa surface. Vers 16/17 ans après avoir vu un « bac tropical » chez des amis de mon frère l’envie d’en avoir un était bien là. Un petit bac d’eau froide dans la coloc d’étudiant puis à peine installé avec ma compagne un 60 litres avec guppy, platty etc... jusqu’à ce qu’un vendeur avisé m’assure que des M. auratus iraient très bien avec.... évidement...
Le virus du Cichlidé était là. Un passage par quelques américains, dans mon nouveau bac de 300 litres (nigro, maronii etc...) puis je me suis tourné vers l’Afrique et les fameux à l'époque Pelmatochromis pulcher. Puis sur une petite annonce n’ai trouvé des Aulonocara nyassae (F xxxxx). Le 300 l remplacé par un 600 litres, j’ai eu des N. venustus (qui m’ont fait des milliers de jeunes).
A la fin des années 80 le beau père d’une amie m’a emmené chez Philippe Amouriq ou j’ai découvert des espèces un peu moins courantes du Malawi (Aristochromis christyi en particulier) que j’ai maintenu un moment tout en découvrant le Tanga chez Nerea. Je me souviens parfaitement du choc que j’ai eu en voyant pour la premiere fois ses Enantiopus melogenis (tandis qu’il emballait mes Aristochromis).
L'idée du Tanga faisait son chemin et à ma visite suivante je repartais avec un couple de Cypho (bleus de Zambie) et un petit groupe de Cyprichromis leptosoma Karilani (et les bacs ont commencé à se multiplier dans l’appartement (grenoblois a l'époque). Toujours un peu de Malawi et mes premiers Tropheus : un couple Bemba (si si un couple...) et de Petro travawasae...
En 1990, par hasard (et par chance !) le boulot m’a emmené au Burundi pour une quinzaine de jours (faire les photos de la plaquette gouvernementale de la « filière café du Burundi »). Je ne sais plus par quel biais, l’expatrié responsable de ce boulot connaissait vaguement Mireille Schreyen et m’a obtenu le matin du départ un rdv pour visiter son installation à Bujumbura. Ma bascule définitive vers le Tanga a eu lieu ce jour là et depuis je n’ai toujours pas l’impression d’en avoir fait le tour tant la variétés et les possibilités de découvertes sont grandes.
Impaussible n’est pas français.
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