Re: Jérome en Thaïlande
Posté: 03 Avr 2019, 22:15
Et après, de charmantes rameuses nous font découvrir le village (c'est déjà dur de ne pas faire chavirer la barque en montant dessus, comment font-il pour y déambuler comme moi dans ma maison?)
On visite l'école flottante et son préau (sur l'eau), mais les écoliers ne sont pas ici, ils sont au temple nous dit-on:
Puis le temple sur son île. Chouette en plus i y a une cérémonie avec un orchestre d'instruments locaux, et plein d'offrandes de toutes sortes:
Ensuite on grimpe tant bien que mal au sommet des bâtiments administratifs de la réserve (trois étages, le point le plus haut à des dizaines de km à la ronde), et on voit un panorama extraordinaire sur ce bel endroit:
C'est le "chemin" d'accès, planches vermoulues garanties...
On retraverse pour aller visiter la zone marchande, très bien achalandée (mais rien de superflu, on devrait s'en inspirer chez nous):
Puis visite de la barge artisanale, où les femmes du village transforment un fléau (la jacinthe d'eau, introduite ici dans les bassins de colons français au début du XXème siècle, et qui envahit tout comme sur le lac Victoria), en matière première pour de jolies vanneries multicolores, qui sont ensuite revendues dans le monde entier par le biais d'une ONG française, Osmose.
On traîne encore un peu dans le village, puis on prend la rivière du retour, en passant à nouveau par Mech Rey au coucher du soleil:
On en a pris plein les yeux, même si les oiseaux les plus rares ne se sont pas montrés (ils arrivent surtout quand le niveau d'eau est plus bas, vers février-mars). Cette zone est en effet un des derniers refuges des marabouts argala et chevelus, des tantales lactées, des tantales peintes, et des ibis à tête noires, les autres espèces rares étant les pélicans, oiseaux-serpents et aigles à tête grise, que nous avons bien vu. On a vu plein d'autres oiseaux, mais leurs photos sont ratées (pas toujours facile): notons le grand coucal, le Drogo à queue en raquette, le corbeau à gros bec, les martins des pagodes, et des passereaux nombreux et furtifs que je n'ai pas identifié...
Un des plus splendides biotopes que j'ai jamais admiré, une merveille de la nature!
Et zut de zut, je pensais que l'eau était comme celle du Mékong, toute boueuse, et en réalité elle était super claire, j'avais laissé mon masque et mon tubas à Siem Reap...
On visite l'école flottante et son préau (sur l'eau), mais les écoliers ne sont pas ici, ils sont au temple nous dit-on:
Puis le temple sur son île. Chouette en plus i y a une cérémonie avec un orchestre d'instruments locaux, et plein d'offrandes de toutes sortes:
Ensuite on grimpe tant bien que mal au sommet des bâtiments administratifs de la réserve (trois étages, le point le plus haut à des dizaines de km à la ronde), et on voit un panorama extraordinaire sur ce bel endroit:
C'est le "chemin" d'accès, planches vermoulues garanties...
On retraverse pour aller visiter la zone marchande, très bien achalandée (mais rien de superflu, on devrait s'en inspirer chez nous):
Puis visite de la barge artisanale, où les femmes du village transforment un fléau (la jacinthe d'eau, introduite ici dans les bassins de colons français au début du XXème siècle, et qui envahit tout comme sur le lac Victoria), en matière première pour de jolies vanneries multicolores, qui sont ensuite revendues dans le monde entier par le biais d'une ONG française, Osmose.
On traîne encore un peu dans le village, puis on prend la rivière du retour, en passant à nouveau par Mech Rey au coucher du soleil:
On en a pris plein les yeux, même si les oiseaux les plus rares ne se sont pas montrés (ils arrivent surtout quand le niveau d'eau est plus bas, vers février-mars). Cette zone est en effet un des derniers refuges des marabouts argala et chevelus, des tantales lactées, des tantales peintes, et des ibis à tête noires, les autres espèces rares étant les pélicans, oiseaux-serpents et aigles à tête grise, que nous avons bien vu. On a vu plein d'autres oiseaux, mais leurs photos sont ratées (pas toujours facile): notons le grand coucal, le Drogo à queue en raquette, le corbeau à gros bec, les martins des pagodes, et des passereaux nombreux et furtifs que je n'ai pas identifié...
Un des plus splendides biotopes que j'ai jamais admiré, une merveille de la nature!
Et zut de zut, je pensais que l'eau était comme celle du Mékong, toute boueuse, et en réalité elle était super claire, j'avais laissé mon masque et mon tubas à Siem Reap...